Ode à trois...
Par P’tit Loup
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Par
Tina aux gants noirs |
(suite) Je donne trois petits coups à la porte. Des bruits de conversations viennent de la chambre. Une voix de femme ordonne, « cache-toi, c’est sans doute le garçon d’étage qui vient avec ta surprise ! » Quelques courts instants passent avant que la porte de la chambre s’ouvre doucement. Une main de femme prend la mienne en m’invitant à rentrer et je sens aussitôt son doigt se poser sur mes lèvres m’invitant à ne rien dire, à ne pas faire de bruit. Helen esquisse un sourire complice. Elle porte un loup en cuir souple ! Très vite elle remplace son doigt par ses lèvres… puis murmure, « Tina, vous êtes comme je l’imaginais. Rentrez et ne faites pas de bruit ». Ses lèvres n’avaient fait qu’effleurer les miennes, mais cela avait provoqué un émoi, un émoi réciproque. Helen est une femme splendide, de délicieux cheveux roux, une bonne trentaine, habillée de cuir noir qui la moulait merveilleusement. .. Sensualité extrême, de l’élégance et de la grâce. Une démarche féline. « Dis donc », me dis-je en moi-même, « Quelle belle femme, Monsieur a tiré le gros lot ! Non seulement elle est hyper sexy, mais elle est… délurée.» Mais au fait, lui dis-je à voix basse, «où est votre ami ? ». La chambre, très grande, n’est que très faiblement éclairée. Je commence à me poser des questions sur les intentions de la belle. Helen me rassure : « J’aime le voir soumis à mes désirs pour mon bonheur et pour le sien ». Elle me débarrasse de mon sac et me conduit… près du lit. Me regardant droit dans les yeux, avec son sourire entendu, elle dit : « Mike ! Ton cadeau mon chéri ! » Mais Mike ne peut voir car Helen lui a bandé les yeux. Mike est nu comme un vers et sourire enjoué avant de stopper ses paroles, de porter ses mains sur ce qui devait pourtant constituer sa fierté et de bafouiller lamentablement à mon attention, « … Bon… Bonsoir… ! » Helen arrête immédiatement mon fou rire et tirant son amant par le bras, le regard et la voix soudain sensuelle, lui assénant, « Ce soir ce sera très spécial pour toi. Ce n’est pas une femme phallique qui va s’occuper de toi, mais deux !!! ». Mike est manifestement troublé. Et Helen agite son index sur les lèvres de son amant à la manière d’une maîtresse d’école s’adressant à ses galopins, « Mais il y a deux conditions : tu lui dis « Vous » et tu gardes ta jouissance pour moi. Contrôles-toi. Ta jouissance sera pour moi, ta femme. Si tu ne le fais pas, je t’en voudrais… ». |
Par P’tit Loup
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(suite) Abandonnant rapidement l’idée qu’il était ridicule de se trouver ainsi les cuisses écartées, les pieds dans les étriers face à deux femmes de caractère je me laissais faire. Une utilisation raffinée de divers jouets (martinet, roulette crantée…) m’excitait déjà beaucoup, mais au moment opportun je fus libéré et dirigé vers une alcôve où Sophie s’offrit à moi en commençant par me sucer de sa bouche experte. J’appréciais de pouvoir ainsi lui baiser la bouche tandis que je pouvais prendre ses seins parfaits dans mes mains et lui pincer les tétons pendant que Tina me caressait délicatement le dos et les fesses. Prendre Sophie fut l’aboutissement. Face à elle, accroupis, je tournais le dos à Tina qui continuait à s’occuper délicatement de mon dos tout en se dirigeant de façon plus insistante vers ma rondelle. Elle entreprit alors de me doigter le cul pendant que j’allais et venais en Sophie. Encore, une nouvelle sensation : pénétrer tout en étant en moi même pris par derrière. Je ne pu tenir longtemps et ne tardai pas à exploser en Sophie. Loin d’être au bout de mes surprises, Sophie qui semblait jouir se dégagea et se mis à émettre un jet violent sortant de son intimité. Une vraie femme fontaine, ce qui commença à confirmer mes soupçons. |